Capitale : Dodoma
Devise : Shilling tanzanien
Compte-rendu 2011
Nous voilà jeudi 29 septembre 2011, il est 9h30 du matin quand, avec Amandine, ma compagne de voyage, nous quittons notre hôtel d'Arusha où nous sommes arrivés le matin meme vers minuit. Terminé le confort, les bons repas, les lits douillets et les douches chaudes. Il est l'heure de rejoindre la Machame Gate, point de départ de l'ascension du Kilimandjaro par la voie Machame. Il est 11h30 quand nous arrivons sur place, notre équipe (composée de 4 porteurs, un cuisinier, un assistant guide et 2 guides) se prépare, de notre coté nous signons le registre pour signaler que nous commençons l'ascension, on avale un repas froid et à 12h10 nous démarrons le long chemin qui nous sépare du sommet. Nous sommes à 1800 mètres d'altitude, le sommet se trouve à 5895m. Nous portons un "petit" sac à dos avec nos affaires pour la journée, le gros étant porté par les membres du staff. Mon sac pèse 10kg, apparemment c'est 4kg de trop et je vais donc souffrir un peu plus que la moyenne des grimpeurs. Pas grave, je ne peux pas faire autrement. Mais la plus grosse difficulté, c'est le mal des montagnes. Pour l'atténuer au maximum, il faut boire entre 4 et 5 litres d'eau par jour, bien dormir, bien se nourrir et monter très lentement, même si ça parait facile au début. Aujourd'hui notre décor sera la foret tropicale. L'air est chargé en humidité, le sol est assez glissant et nous marchons dans la boue pendant plusieurs heures. Le moral est forcément bon, nous faisons connaissance avec nos guides, on adopte le rythme "pole pole" ("doucement" en swahili) et cette 1ere journée se passe parfaitement. Il est alors 18h quand nous arrivons au Machame Camp, c'est là que nous allons dormir ce soir, à 3000m d'altitude. A notre arrivée, la tente est déjà en place, une petite table nous attends avec des boissons chaudes et quelques pop-corn, la nuit commence à tomber et nous sommes trés heureux d'etre là et d'avoir passé sans encombre cette journée, meme si elle ne présentait aucune difficulté. Une bassine d'eau chaude nous est servie en guise de "bain", le temps de se débarbouiller, nous voilà près à manger. Il est environ 19h30, la nuit est tombée et il commence à pleuvoir. Rien de bien méchant puisque rapidement les nuages vont s'éclipser pour laisser place à une nuit d'une grande clarté. La voie lactée est visible et c'est un moment relativement magique d'assister à ce spectacle. Malgré tout, la fatigue se fait sentir et à 21h, nous tombons dans les bras de morphée.
Vendredi 30 septembre, il est 7h du matin quand le réveil sonne. La nuit a été très correcte et nous sommes d'attaque pour une nouvelle journée d'ascension. Au petit dej', omelette, pain et confiture et surtout du porridge (Une espèce de soupe aux céréales broyées, très fade et visqueuse), tout ça en apercevant au loin, au très loin meme, les pentes enneigées du sommet du Kilimandjaro. Le porridge a du mal à passer mais parait il que ça tient au corps et que ça donne des forces pour cette journée qui s'annonce difficile pour atteindre Shira Camp à 3840m. La pente est tout de suite trés raide à travers une végétation d'arbustes. Notre rythme est relativement moyen, pas mal de groupe nous dépassent. Je ne m'inquiète pas, mon but est d'arriver au sommet pas de faire la course. D'autant plus qu'en arrivant au camp le soir, il n'y a rien à faire, encore moins quand la nuit tombe à 18h30. Alors pourquoi se presser ? Autant monter doucement, s'acclimater à l'altitude, boire, boire et re-boire et arriver au sommet. Malgré tout ça, ma coéquipière commence à fatiguer ce matin et le rhume attrapé dans l'avion l'handicape pas mal dans sa respiration. Il est environ 12h30 quand nous faisons une rapide pause repas dans un épais brouillard et un vent glacial. La pluie menace et il ne fait pas bon s'éterniser dans ce contexte. Nous repartons vers 13h et nous prenons quelques gouttes de pluie. Heureusement vers 14h30, le camp est déjà là. Le ciel est vraiment menaçant, il fait presque déjà nuit et voilà qu'éclate un très gros orage. D'abord des trompes d'eau, puis de la grêle, de la neige et encore de la pluie. L'eau ruisselle de toutes parts sur les pentes du Kili et la tente se retrouve inondée. S'il neige, forcément la température est basse. Nous sommes trempés ainsi que nos sacs de couchage, vu l'humidité ambiante, ça ne séchera pas avant la nuit même en cas d'éclairci. Tout ça durera une bonne heure, le temps de se demander dans quelle galère nous nous sommes embarqués. Mais nous y sommes, on ne peut plus reculer. Du coup, le repas est servi vers 17h afin de se réchauffer et vers 19h nous nous plongeons dans nos sacs de couchage imbibés d'eau.
En ce samedi 1er octobre, à la sortie de la tente, nous sommes entourés d'une pellicule de neige, le soleil pointe timidement son nez, juste assez pour nous faire apprécier la mer de nuage que nous dominons et la pointe du Kili derrière nous. Il n'en faut pas plus pour nous rebooster et nous lancer à l'assaut de Barranco. Aujourd'hui est une journée importante puisqu'elle va nous servir d'acclimatation à l'altitude. Nous devons monter à Lava Tower à 4600m pour redescendre dormir à Barranco à 3950m. A 4000m, la végétation se fait rare et le paysage devient lunaire. Le brouillard de plus en plus épais qui nous entoure rend l'atmosphère particulière. D'autant plus que ma coéquipière souffre de plus en plus, vertige, nausées et rhume l'handicapent véritablement. Elle s'essouffle rapidement et la pluie qui nous menace encore n'améliore pas son moral. Le silence est pesant, je commence à rentrer en mode gestion, en mode j'écoute mon corps et je prend soin de lui. C'est à ce moment là que je réalise que les jours qui vont arriver vont etre une véritable souffrance, souffrance qui va monter crescendo non pas jusqu'au sommet mais jusqu'à Mweka Gate, la fin du parcours. Il est environ 12h et nous sommes à 4200m d'altitude quand les guides nous disent qu'il ne vaudrait mieux pas monter à Lava Tower car le temps va se dégrader. Ne pas faire l'acclimatation à 4600m me dérange mais en effet, le temps est sombre et Amandine n'est vraiment pas au mieux. On mange et on coupe à travers la montagne pour rejoindre Barranco Hut au plus vite. Il est 12h30 quand le déluge s'abat sur nous. Une véritable tempête, le froid, le vent et biensur la pluie. Je suis trempé jusqu'à l'os, les jambes commencent à accuser le coup des heures de marche, le moral est moyen et j'avance comme un robot ou plutot un mort vivant, comme si je n'avais plus aucun ressenti. Les guides nous disent qu'il y en a pour 1h30 de marche encore, rapidement le plus vieux des 2 n'arrive plus à suivre notre rythme et nous laisse partir avec l'autre...2h, 2h30, 2h45 de marche et nous voilà à Barranco Hut, à 3950m d'altitude, dans une cuvette au pied du Kili, sous la pluie et vidé de cette 3eme journée épuisante. On essaye de passer les affaires les moins mouillées pour se réchauffer un peu et la bassine d'eau chaude nous fait le plus grand bien. Il en faut très peu pour être heureux à ce moment là de l'ascension. Mais le repos sera de courte durée. Après le repas, nous nous écroulons à 19h dans nos sacs de couchage. Mais à 21h30, nouvel orage, une pluie diluvienne s'abat encore sur nous. Personnellement c'est l'un des 2 moments les plus difficiles de cette ascension. Je ne vois pas comment je vais pouvoir arriver en haut, j'ai mal aux jambes, j'ai froid et je n'ai plus qu'un pantalon sec que je veux garder pour l'ascension finale. Il pleut une bonne partie de la nuit, j'étais tellement HS que je m'endors malgré tout.
Dimanche 2 octobre, il est 7h quand j'ouvre les yeux, la tente a résisté. Amandine est vraiment très mal et m'annonce qu'elle va certainement abandonner. Dehors il fait froid mais comme souvent le matin, une petite brise nous permet de chasser les nuages pour que les rayons du soleil puissent nous réchauffer quelques minutes. Ce qui nous donne la possibilité d'apercevoir le sommet du Kili. Ca fait peur, il est à la vertical au dessus de nous, ça parait insurmontable, on a l'impression d'être une fourmi au pied de ce colosse. Là je mesure véritablement l'ampleur de la tâche et le défi me rebooste un maximum. Amandine, veut quand meme tenter de continuer malgré son état. A 9h nous attaquons le mur de Barranco. C'est quasiment de l'escalade pendant 2h. Au bout de 15mn, prise de vertige, ma coéquipière ne peut continuer et je suis obligé de poursuivre seul la montée avec mon guide. On met ça de coté et je me dis que je vais aussi réussir pour elle car on s'était promis d'y arriver ensemble. Je monte à un bon rythme, je croise un japonais qui fait le beau torse nu pour prendre une photo, mes habits sont presque secs quand il commence à repleuvoir vers 12h. Je souhaite faire une pause à l'abri d'un rocher pour éviter le gros de l'orage mais mon guide me dit qu'exceptionnellement aujourd'hui on mange sous la tente. Il reste 20mn de marche avant le déjeuner, alors j'y vais et je reprends la pluie. En arrivant pour la pause repas, mon guide me fait un clin d'oeil en me montrant où je vais manger, là bas, sur un rocher, sous la pluie...je ne suis meme pas énervé de cette mauvaise plaisanterie. J'ai meme envie de rigoler de la situation, si mes potes me voyaient, assis là, dans le brouillard, complétement humide en train de manger ma soupe... Je ne m'attarde pas trop et c'est reparti. La pluie se calme et la pente se fait raide. J'ai mal partout, les bras, les jambes, les épaules mais je résiste bien au mal des montagnes car je suis à 4800m et pas le moindre vertige. Je bois sans cesse, de l'eau du Kilimandjaro, jaune, opaque mais je ne suis pas malade. Je me demande si je suis encore vivant en fait ? inconsciemment, j'ai l'impression que mon mental à dit mon corps de se blinder, qu'il allait souffrir mais qu'il devait tenir bon. J'ai confiance, je vais y arriver, je dois y arriver, je n'envisage pas l'échec. Il est 16h quand j'arrive au dernier camp avant l'ascension finale. Elle se déroulera cette nuit. Je mange à 17h30, je prépare mes affaires à 18h30, en sortant mon dernier pantalon sec, je me couvre car il fait froid meme dans le sac de couchage et j'essaye de m'endormir. Mais le sommeil est difficile à trouver à cause de l'excitation du défi final. Je dors tout au plus 2h et je me réveille vers 23h. Je prends soin de tout vérifier, eau, lampe frontale, piles de rechange, barres énergisantes, vêtements chauds, appareil photo...tout est près. Je bois un chocolat chaud, 2 biscuits et un snickers et il est l'heure d'y aller.
Lundi 3 octobre, jour de succès ou déception immense ? Il est 00h11 quand je quitte la tente. La nuit est noire mais parfaitement claire. Au loin, on voit la ville de Moshi d'un coté et face à moi, des lampes frontales. Elles ne sont pas devant moi, elles sont au dessus de moi, on dirait des étoiles. La pente est raide, très très raide, c'est un véritable mur qui se dresse devant moi. Je ne le vois pas à cause de l'obscurité mais ces petites lampes en zig-zag me donnent presque le vertige. J'ai véritablement l'esprit commando. Je monte, je ne pense à rien si ce n'est à boire l'eau qui n'a pas encore gelée. Toutes les 2 minutes je prends une gorgée. Le rythme est bon, je rattrape pas mal de groupes. Je ne veux pas m'arrêter pour ne pas me refroidir et j'adopte une foulée que mon corps supporte. A partir de 5000m, je croise déjà des gens qui sont au plus mal, qui toussent, certains même, redescendent, trop dur pour eux. Il fait de plus en plus froid, environ -10°, mes 3 paires de chaussettes me préservent parfaitement de la température. Vers 5200m, la souffrance devient sévère, je demande alors à mon guide combien de temps il reste encore à marcher avec cette pente aussi raide, il me plante un poignard dans le coeur quand il m'annonce encore 3h comme ça jusqu'à Stella Point (5756m) ! Malgré les heures de marche passées, c'est le 2eme instant où j'ai songé à arrêter ne voyant pas comment je pourrai le faire. J'ai alors penser à garder mon rythme de marche, à boire et surtout, j'ai dépassé de plus en plus de grimpeurs, dont un anglais de 25 ans qui était à bout de souffle. Reboostage, j'ai voulu me prouver que je pouvais faire mieux que lui meme si j'étais épuisé. Les frontales les plus lointaines commencent à se rapprocher, je sais que je fais un super bon temps. Vers 5400m, les maux de tete font leur apparition mais hors de question d'arrêter, je vais quasiment arriver dans les 1ers à Stella Point alors que j'avais 45mn de retard sur eux au départ. La nuit devient moins noire il est 5h11 quand j'arrive à Stella Point, j'ai fait le plus dur, je suis au bord de la rupture, je suis tellement fatigué que je n'arrive meme pas à faire sortir les larmes qui mouillent mes yeux. Le guide veut faire une pause mais je ne veux pas, je veux repartir tout de suite pour Uhuru Peak, le sommet, le point le plus haut de l'Afrique. Alors on y va et à partir de là ça n'est que du plaisir, le soleil fait son apparition, les couleurs sont splendides, on marche dans la neige, au dessus des nuages, au milieu des glaciers. Il fait -20° mais je suis parfaitement bien, fier et admiratif de ce décor unique, que peu de monde a le privilege de voir. Pendant ces dernières 35mn de faux plat montant, je suis pris de sanglots, une émotion que je n'ai jamais connu, un dépassement de soi que j'apprécie au plus haut point. Et si c'était ça donner son maximum ? Il est 5h49 quand je touche le panneau du sommet du Kilimandjaro, à 5895m d'altitude. J'ai sans doute effectué l'ascension la plus rapide de la nuit. Le temps de prendre quelques photos, il est l'heure de redescendre car le soleil se lève et deviendra brulant rapidement à cette altitude. La descente jusqu'à Barafu va s'avérer un véritable calvaire pour mes jambes et surtout mes genoux. En redescendant, je croise le japonais qui faisait le beau torse nu la veille, là, il se faisait tirer par sa femme car il était à l'agonie, je croise également des gens sous oxygène qui veulent absolument finir malgré leur état, des images fortes qui resteront longtemps graver dans ma mémoire. Il me faudra 3 interminables heures pour arriver à Barafu Camp, où je vais me mettre à saigner abondamment du nez. Le temps de se reposer 1h, de manger un morceau et c'est reparti pour 3h de marche jusqu'au dernier camp, à Mweka. En arrivant à 15h, je suis exténué, je m'allonge de longues minutes avant de faire quoi que ce soit d'autre, à la fois heureux mais épuisé. La pression retombe, le plus dur est fait et il ne restera que 3 petites heures de marche demain avant de retourner à Arusha et de retrouver Amandine. C'est donc le 4 octobre que je termine cette formidable aventure qui m'a permis d'atteindre pour la 1ere fois de ma vie mes véritables limites. Un défi que je conseillerai à chacun pour se tester et surtout vivre la petite vingtaine de minutes ahurissantes d'un levé de soleil au sommet du Kilimandjaro...
MOIS | Dodoma |
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Janvier | |
Février | |
Mars | |
Avril | |
Mai | |
Juin | |
Juillet | |
Aout | |
Septembre | |
Octobre | |
Novembre | |
Décembre |
: Période favorable
: Période moyennement favorable
: Période défavorable
: Période très défavorable
LIEUX |
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Cratère du Ngorongoro : c'est la plus grande caldeira du monde. Dans ce cratère vous pourrez observer des gnous, gazelles, rhinocéros, lions, zèbres, hippopotames etc... Le Ngorongoro est souvent qualifié de "huitième merveille du monde". L'endroit est d'ailleurs élevé au statut de Réserve internationale de la biosphère. |
La réserve de Selous : éléphants, rhinocéros noirs, guépards, girafes, hippopotames et crocodiles vivent en très grand nombre dans cet immense sanctuaire de 50 000 km2 demeuré à peu près à l'abri de l'homme. Le parc comprend des zones de végétation variées, depuis les fourrés denses jusqu'à des prairies boisées bien dégagées. |
La ville de pierre de Zanzibar : magnifique exemple des villes marchandes côtières swahilies d'Afrique de l'Est. Elle a conservé un tissu et un paysage urbains quasiment intacts, et beaucoup de bâtiments superbes qui reflètent sa culture particulière, fusion d'éléments disparates des cultures africaines, arabes, indiennes et européennes sur plus d'un millénaire. |
Mont Kilimandjaro : point culminant de l'Afrique à une altitude de 5 895 m, le Kilimandjaro est un massif volcanique dont la cime isolée, couverte de neiges éternelles, surplombe la savane avoisinante. Il est entouré d'une forêt de montagne et abrite de nombreux mammifères, dont beaucoup appartiennent à des espèces menacées. Son ascension se fait entre 5 à 8 jours selon la voie, je vous conseille la Voie Machame, difficile mais la plus belle. |
Plages : avec plus de 1 000 km de côte bordée par l'océan Indien, d'archipels exotiques et de lacs intérieurs, vous nâaurez que l'embarras du choix pour goûter au soleil. Les plages de Zanzibar sont magnifiques : palmiers, sable blanc éblouissant et excellents sites de plongée. Pour davantage d'intimité, choisissez Pemba, avec ses criques idylliques, ou la côte continentale à proximité de Pangani. Les amateurs de solitude pousseront plus au sud, entre Kilwa Masoko et la frontière avec le Mozambique, ou se réfugieront dans l'arrière-pays, sur les bords du lac Tanganyika. |
Ruaha National Park : fait partie des rares et célèbres espaces de nature de Tanzanie où l'on peut découvrir la faune dans un paysage fascinant. Le parc regorge de plantes et d'animaux comme le grand koudou que l'on ne trouve dans aucun autre parc national. Il peut se vanter de son écosystème presque vierge et inexploré, qui offre aux visiteurs la possibilité de faire un safari vraiment unique. |
Serengenti National Park : dans les vastes plaines de Serengeti, sur un million et demi d'hectares de savanes, les migrations annuelles vers les points d'eau permanents, d'immenses troupeaux de millions d'herbivores (gnous, gazelles, zèbres) suivis de leurs prédateurs, offrent un spectacle d'un autre âge, l'un des plus impressionnants au monde. |
SYSTéMATIQUEMENT : | |
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Vaccinations incluses dans le calendrier vaccinal à mettre à jour | |
Hépatite A | Enfants : dès l'âge de 1 an |
EN FONCTION DES MODALITéS DU SéJOUR : | |
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Hépatite B | Pour des séjours longs ou répétés. Deux injections espacées dâun mois, rappel unique 6 mois plus tard. Lorsque l'immunité doit être rapidement acquise, en cas de départ imminent, un schéma accéléré comportant trois doses rapprochées et une quatrième dose 1 an plus tard peut être utilisé chez l'adulte. |
Rage | En cas de séjour prolongé, en situation d'isolement. Enfants : dès qu'ils sont en âge de marcher. |
Typhoïde | En cas de séjour prolongé ou dans des conditions d'hygiène précaires. Enfants : à partir de l'âge de 2 ans. |
INFOS FIèVRE JAUNE ET PALUDISME : | |
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Fièvre jaune (2015) Zone paludisme : C - Risque de paludisme à P.falciparum (forme persistante), et résistance à la chloroquine et à la sulfadoxine-pyriméthamine signalée. Prévention des piqûres de moustiques et prise d'un médicament antipaludique à titre préventif : atovaquone-proguanil (Malarone), ou doxycycline ou méfloquine (Lariam) (choisissez le médicament en fonction des effets secondaires signalés et des contre-indications). Source : Institut Pasteur |